NADINE MORANO ET LES NOIRS DE LA GARE DU NORD

Nadine MORANO   et  les « noirs » de la gare du nord

Ce dimanche 22 mai 2016  dans l’émission supplément de canal plus , notre très célèbre Nadine Morano a une fois de plus mis sur la place publique un sujet qui a suscité comme c’étais prévisible des réactions diverses. Pour ma part, cette déclaration de ma sœur terrienne  N.M ne me choque pas. Après tout, elle a droit dans une « démocratie » d’exprimer ses pensées même si ces dernières ne rencontrent pas toujours des retours positifs.  Il nous appartient donc  , nous hommes et femmes qui souhaitent la paix sur terre de toujours apporter des réponses de fond afin de susciter en chacun de nous réflexion profonde pour mieux comprendre les défaits quotidiens de notre société.

Que les noirs vivent entre eux dans une société et plus particulièrement dans un quartier précis, où est le mal ? Dans toutes les grandes agglomérations ce phénomène existe .il serait donc hypocrite de croire que cela est un cas spécifique de la capitale française.  A new York cosmopolite (little Germany, little italy, Chinatown etc), à Londres multiculturelle (aller visiter le quartier brixton, bengladesch ou dalston pour vous en convaincre), à Montréal (petite Italie, quartier latino américain sur la rue Belanger entre saint dénis à l’ouest et saint Hubert à l’est de Montréal)  et même  dans des villes africaines.  

Il existe des quartiers entiers où il y’a concentration d’une communauté spécifique religieuse ou sociale et même ethnique. Quoi de plus normale qu’un étranger qui arrive dans une ville essaie avant tout de rejoindre  ses  « siens » pour mieux s’adapter  ou bénéficier des conseils sur les démarches à faire dans son nouveau paradigme. C’est un reflex normale et logique. Et après ce nouveau venu s’envolera de ses propres ailes pour continuer son expérience sociale et professionnelle….après «  son initiation auprès des siens » !

Après tout cette concentration d’une couche de population dans un quartier précis ne favorise telle pas l’émergence de l’entreprenariat privé. On observe dans ces quartiers l’implantation de commerces diverses (alimentation, beauté, etc) ce qui est évidemment rentable pour l’Etat puisque ce sont des recettes publiques augmentent. Des chômeurs de moins pour pôle emploi…que veut le peuple LOL    cela contredit en passant l’idée selon laquelle « ils sont paresseux ou inintelligents » . ah professeur Georges  NICOLO et   phillip  EMEAGWALI veuillez   leur  accorder vos indulgences !

Par ailleurs notre sœur Nadine semble jouer un peu avec les sentiments de rejets ou profite hélas sur  l’ignorance du peuple (comme il est dit dans des livres sacrés : mon peuple périt faute de connaissance). Elle oublie(ou n’ose pas peut être aller loin dans sa réflexion) tout simplement de dire qui attribue les logements à ses « noirs » dés qu’ils débarquent au paradis ? QUI a crée ces ghettos ? Pourquoi certaines villes refusent de promouvoir la mixité sociale ? ET pourquoi mes frères et sœurs  dits « de souches » refusent de cohabiter avec moi sniffffff    allez les amis on connait le refrain « j’aime toi le noir mais pas les noirs »  MDR !!!!

Sa réflexion en comparant cette réalité à l’Afrique sous entend que ce mauvais ? Parce qu’ils sont noirs ou parce que leurs présences détruisent La belle France ? il est évident que tous les  noirs  qui errent dans la gare du nord ne sont pas tous des saints mais cela ne suffit pas pour criminaliser tous ceux qui s’y trouvent à un moment donné..(C’est un lieu de transit)C’est aberrant… où est la force publique et donc l’Etat pour amener l’ordre, la quiétude et la paix et surtout l’entente entre les fils et filles de la république.

La situation économique de la patrie est tellement en décadence, qu’il faut toujours chercher des bouc émissaires pour distraire la colère du peuple…on connait la chanson :le principe de diversion de la masse et de division vieux comme le monde…allez mes amis soyez heureux dans l’amour et l’intelligence pour le bien de l’humanité.

Articles importants

 Un impact quasi-nul sur les finances publiques :source figaro.fr

En 2011, les économistes Xavier Chojnicki et Lionel Ragot ont publié un livre qui fait encore référence parmi les économistes spécialistes des questions migratoires. Leur constat: «Les immigrés ne prennent pas le travail des autochtones, ne tirent pas les salaires vers le bas, et ne pèsent pas sur les comptes publics», résume au Figaro Xavier Chojnicki, maître de conférences à l'Université Lille 2 et chargé de recherche au Cepii. «Quelque soit l'âge considéré, si l'on regarde la différence entre ce qui est versé (impôts et charges) et ce qui est reçu (RMI devenu RSA, allocations chômage, familiales ou logements...), le résultat est défavorable aux autochtones par rapport aux immigrés. Mais au global, comme les immigrés sont surreprésentés dans la tranche active (25 à 35 ans), cela contre-balance les versements des retraites et des dépenses de santé - qui représentent 80% des dépenses totales de l'État -, bien plus importantes proportionnellement pour les natifs que les immigrés.»

Au final, le solde des finances publiques ressort très légèrement positif, de presque 4 milliards d'euros pour l'année 2005. L'étude date, et ne tient pas compte de la violente crise économique que la France subit depuis 2008. Mais, compte-tenu du fait que les flux migratoires en France sont parmi les plus faibles d'Europe (200.000 migrants par an, deux fois moins que dans les années 1960) et que les immigrés qui entrent en France son majoritairement jeunes et actifs, «le résultat devrait rester globalement neutre», estime le chercheur qui publiera une actualisation de ses chiffres «dans les prochaines semaines.»

 L'immigration contribue à la performance économique de la France :source figaro.fr

En juin 2015, trois économistes français ont publié une étude novatrice sur la contribution des migrants à la croissance française. Hors de toute considération politique, Hyppolyte d'Albis, Ekrame Boubtane et Dramane Coulibaly, ont croisé et analysé des bases de données sur la période 1994-2008. Il en résulte que les flux migratoires ont un impact «significativement positif» sur le PIB par habitant. Les flux migratoires étant faibles en France, l'effet est mécaniquement faible. Mais «l'immigration ne réduit pas le revenu moyen des Français», tranche Dramane Coulibaly, chercheur à La Sorbonne. Autre enseignement a priori contre-intuitif: «L'immigration féminine et l'immigration familiale expliquent cet effet positif sur la croissance», car ces immigrés sont complémentaires aux Français nés en France (les natifs). Contrairement aux immigrés du travail (avec des qualifications similaires aux Français nés en France), qui «se substituent aux natifs».